Assez énigmatique et qui pourrait apparaître un brin ennuyeux aux amateurs de contenus favorisant l’épilepsie, Empty places propose le temps d’une Sonate N°14 Op. 27  » Clair de lune  » de Beethoven (soit 8 minutes 30) d’arpenter un monde où l’humain a subitement disparu.

Davantage expérience contemplative propice à la réflexion que divertissement de salon, l’originalité et l’intérêt de ce court métrage tiennent en sa proposition d’une « apocalypse » où la marque de l’Homme persiste non pas à travers des bâtiments abîmés froids et statiques témoins d’une vie passée, mais par la « vie » automatisée qui continue sans le démiurge qui l’a créée.

Détail surprenant que cette présentation a complètement divulgâché, la construction du film s’appuie sur des jeux de cycles uniformes dont on ne comprend pas tout de suite la fonction pour finalement dévoiler l’étendue de ces espaces vides qui se remplissent peu à peu du désordre né de l’homme et continué par l’automatisation.

Attention : extrait et non film complet

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